Pétrole : belles performances pour Assala Gabon en 2019

Deuxième producteur pétrolier avec une stratégie opérationnelle consistant à accroître sa production en prolongeant la vie des champs, Assala Gabon est aujourd’hui un des acteurs majeurs du paysage et un moteur du contenu local dans l’économie gabonaise. Avec plus de 310 millions de dollars US (182,5 milliards de FCFA) investis auprès de 309 entreprises locales ayant permis de maintenir, selon ses engagements initiaux, pas moins de 500 emplois directs et 1000 emplois indirects, la société pétrolière présente au Gabon depuis fin 2017 veut s’inscrire sur le long terme.
Rachat de 100 % des participations de Shell-Gabon en 2017 pour 587 millions de dollars US ; rachat des parts de Total Gabon dans le permis de Rabi Kounga en 2018 et signature en octobre dernier avec l’Etat gabonais de trois nouveaux contrats d’exploration et renouvellement pour une durée de 25 ans de quatre contrats de production : Assala Gabon, comme société pétrolière, est en quelques années, devenue un investisseur majeur dans le paysage économique et l’univers pétrolier gabonais.
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En effet, disposant de permis d’exploitation onshore sur lesquels elle a su créer de nouvelles opportunités de développement, Assala Gabon entend contribuer au développement et au rayonnement de l’économie nationale comme en témoignent ses chiffres pour l’exercice 2019. 310 millions USD dépensés auprès d’entreprises gabonaises à travers la signature de 309 contrats, 500 emplois directs, et pas moins de 1000 emplois indirects, 35 stages d’immersion grâce au programme ONE, 13 stages techniques, l’entreprise dirigée par Jean-Yves Grall a su allier investissements et performances, mais surtout en véritable entreprise citoyenne.
« Le but de notre travail est de protéger la société et ses employés sur le long terme. Pour cela, il faut des gens avec des compétences techniques ainsi que cette notion de responsabilité vis-à-vis de la promotion de l’entreprise pour maintenir la confiance de nos actionnaires, de nos banques, et maintenir la robustesse de l’entreprise, et de son attractivité pour attirer de nouveaux investisseurs le cas échéant », a expliqué Jean-Yves Grall à la rédaction de Gabon Media Time.
Avec le renouvellement de 4 licences qui couvrent une période de 25 ans, des investissements cumulés depuis 2018 qui devraient atteindre les 600 millions de dollars US (357 milliards de FCFA) d’ici fin 2020, et en conséquence, un déclin enrayé et une production en hausse, la jeune mais déjà expérimentée entreprise, qui vient de distribuer des bonus de performance de plus de 2 milliards de Fcfa aux employés acteurs de ces efforts de redéveloppement, a une ambition de géant. Et ça tombe bien, puisque sa dénomination fait référence à l’éléphant qu’elle pourrait devenir.