Lutte contre les drogues : la feuille de route dévoilée aux relais communautaires
Le jeudi 7 novembre 2024, s’est tenue une rencontre entre le Directeur général de l’Agence nationale du médicament et des autres produits de santé ( ANMAPS), le Dr. Ange Mibindzou Mouelet et les relais communautaires mobilisés dans la campagne de sensibilisation contre l’usage détourné des médicaments et la consommation de drogues en milieu scolaire. Au menu des échanges, la mise en place du dispositif du suivi rigoureux des actions menées au cours de l’opération.
Le mercredi 16 octobre dernier, le ministère de la Santé en collaboration avec l’Agence nationale du médicament et des autres produits de santé (ANMAPS), ont procédé au lancement de la campagne contre l’usage détourné des médicaments et la consommation des drogues en milieu scolaire. C’est dans cette optique et en vue d’harmoniser les activités menées par les équipes sur le terrain que le Dr Ange Mibindzou Mouelet a rappelé à ces derniers l’importance de ladite campagne qui consiste à informer les jeunes sur les dangers de l’automédication et de la drogue mais aussi à promouvoir les comportements sains et responsables.
Les relais communautaires attendus sur le terrain
La mise en place d’un suivi rigoureux des différentes actions permettra aux relais communautaires d’identifier les obstacles rencontrés lors de la campagne de sensibilisation et d’ajuster les stratégies pour mieux toucher la jeunesse gabonaise. Tout en encourageant les équipes communautaires du Grand Libreville, le Directeur général de l’ANMAPS n’a pas manqué de les remercier pour leur engagement et leur mobilisation exemplaires dans cette vaste campagne. Celle-ci vise à édifier les apprenants sur la problématique de la consommation de drogues.
Rappelons que la campagne de lutte contre l’usage détourné des médicaments se tient du 16 octobre 2024 au 30 avril 2025 dans le Grand Libreville. Elle s’adresse aux étudiants et aux élèves. Cette initiative permet aux nouvelles autorités en place d’éduquer les apprenants, de les informer sur les dispositifs de prise en charge existants, et de vulgariser la réglementation pénale relative à la consommation de stupéfiants.