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Laissez-parler: une tribune pour la femme gabonaise

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Pour cette Journée nationale de la Femme, nous avons voulu sortir un peu. Et en cette période de crise sanitaire, sortir un peu, c’est sortir beaucoup. Sortir des débats et des conférences, sortir des thématiques prédéfinies, sortir des expositions-vente, sortir des médailles et des récompenses. 

Nous avons demandé un Laissez-parler, et sans surprise aucune, nous l’avons obtenu. Vous connaissez l’adage n’est-ce pas ?  Ce que Femme veut, Dieu le veut. 

Notre Laissez-parler fait tomber les barrages. C’est une sorte de bon d’achat pour la différence et pour les émotions. Car oui, il faut le dire,  nous ne sommes pas toutes égales face au confinement. La colère, le cynisme, le stress, l’angoisse, mais aussi l’apaisement, le recueillement ou l’espoir. Chaque femme qui s’exprime nous dévoile une partie de nous-mêmes. Elle met en lumière ce fil conducteur qui nous rend si fragiles et si puissantes à la fois.  Chaque femme qui s’exprime donne vie à ce qui nous unit, la force de l’amour.

Et si ce n’était que de ça dont nous avions besoin? Et si la seule force de s’aimer les uns les autres était la molécule, le vaccin, le remède miracle contre l’ennemi invisible? Cela peut sembler utopique, certes, mais la période actuelle nous rappelle combien les choses les plus simples, telle que le chant des oiseaux, nous avaient manqué. Nous pouvons à nouveau observer le temps, comme le font nos anciens, bien avisés, dans les villages. Ce n’est pas le temps du Blanc, mais bien le temps du jour et de la nuit. 

Mais revenons-en à notre Laissez-parler. Six femmes gabonaises, nous ont fait l’honneur  de se prêter au jeu en partageant avec nous un morceau de leurs vies de femme durant cette période particulière de crise sanitaire.  Chaque jour, d’aujourd’hui à dimanche, nous vous invitons à découvrir leurs réalités de mère, d’épouse, d’entrepreneur ou  d’employée, à travers de petits entretiens sans geste-barrière. Savourez.

Honneur à nos combattantes de l’ombre.

Honneur à la femme gabonaise.

Angèle Yeno Traoret

Directrice – Havas Gabon

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Henriette Lembet

Journaliste Le temps est une donnée fatale à laquelle rien ne résiste...

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